PROPOS DE FEMMES
« Inassouvie, la vie aspire, sans retenue, nos heures, des heures miel de sapin ou fleur de sel. »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008.
. « Le français est une lame étincelante et, comme toute lame, c’est là où elle se fait fine qu’elle tranche »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p 25.
« Certaines douleurs ne passent jamais, les moments où on s’en distrait entrecoupent ceux où on en souffre mais ne les éliminent nullement »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p27.
« Les gens n’ont pas idée de la violence qu’ils exercent sur les autres en les transformant en déversoirs d’états d’âme »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p50.
« A un certain degré de brûlure, ça ne sert plus à rien de crier j’ai mal »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p71.
« Comment cherche-t-on quelqu’un, quand il est déjà si difficile de se trouver soi-même ? »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p78.
« Quand on crie au secours, personne ne vient, mais quand il est trop tard, tout le monde rapplique »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p111.
« Un rêve ne s’accomplit que pour nous laisser dans l’urgence d’en former un autre »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p134.
« Ceux qui consolent ont parfois plus de raisons de pleurer »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p135.
« Que gagne-t-on à tisser des liens, s’il faut, un jour ou l’autre, se résoudre à les voir se rompre ? »
Fatou Diome, Inassouvies, nos vies, Flammarion, Paris, 2008, p161.
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